Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Le Lycéen

21 juin 2005

canal de destribution Maâdid

chantier_maadid_2

Publicité
21 juin 2005

Photo: L'eau

canal_nadoria_2

21 juin 2005

Poésie :

L’EAU

Comment nommer le ciel?

-Tu l'appelleras champs de guerre.

Comment nommer la tempête?

-T u l'appelleras colère de la nature.

Comment nommer la neige?

-T u l'appelleras parure des cimes.

Comment nommer la pluie?

-T u l'appelleras espoir attendu.

Comment nommer l'eau?

-T u l'appelleras source de vie.

Elèves de la 2Sc.1

21 juin 2005

La charte du bon gestionnaire d'eau:

1.  Je ne jette pas les ordures et déchets dans les sources d'eau comme les rivières, les puits, et les cours d'eau.

2.  Je ne gaspille pas l'eau potable dans les travaux de ménage et de nettoyage.

3.  Je répare toutes les fuites d'eau à l'intérieur de ma maison.

4.  J'alerte les services concernés lorsque je constate une fuite à l'extérieur.

5.  Je limite mon utilisation des engrais chimiques dans l'agriculture afin de ne pas polluer la nappe souterraine.

6.  J'utilise le système de goutte à goutte pour économiser l'eau d'irrigation.

7.  Je répare les canaux d'irrigation endommagés.

8.  J'éloigne entre les puisards des égouts des maisons et les puits.

Aaloul Latifa

2Sc.1

21 juin 2005

Tafilalet aux yeux de l'un de ses écrivains:

Moha Souag et la pompe à eau

                Tafilalet est une région qui souffre momentanément des longues périodes de sécheresse. Moha Souag, écrivain marocain en langue française, qui a beaucoup écrit sur Tafilalet et ses problèmes, a abordé ce phénomène climatique dans sa nouvelle La pompe à eau, parue dans son recueil Les joueurs.

            Sous un soleil brûlant, la période de la sécheresse était longue. Un  jour, après des années de souffrance, les pompes à eau entrent au village. La majorité des paysans pensent que c’était la meilleure technique pour quitter la sécheresse à jamais et vivre dans les richesses. Mais l'heure de la joie n'était pas très longue car un jour "…Quelques paysans sentirent que leurs pompes ne tiraient plus une eau aussi claire et aussi limpide qu'avant. Ils creusèrent d'autres puits mais les tuyaux ne tiraient plus qu'une eau trouble et boueuse au goût saumâtre…"

Lamrani Mohamed

2L.3

Publicité
21 juin 2005

Fait divers: Le Quatrième Congrès Mondial de l'Eau

Entre le 20 et 25 septembre 2004, le Quatrième Congrès Mondial de l'Eau s'est déroulé à Marrakech. Il a été organisé par l'Association Internationale de l'Eau (I.W.A.) et l'Association Marocaine de l'Eau Potable et l'Assainissement (A.M.E.P.A.). Pendant ce congrès, on a abordé le sujet du stress hydrique qui menace le monde entier et plus particulièrement les pays du sud. Parmi les thèmes abordés, on cite:

·       au 20ème siècle, le pétrole occupait vraiment le devant de la scène avec l'explosion des besoins en énergie. Malgré le développement extraordinaire de l'énergie nucléaire, le pétrole est encore la source mondiale n°1. Seulement, au début de ce 21ème siècle, tout indique que le pétrole va être détrôné à la fois comme matière première et comme un facteur économique pour laisser la place à l'eau.

·       certes, l'eau douce manquera en qualité et en quantité. Toutefois, ce qui va rendre la situation encore plus dramatique ce sont les inégalités entre les pays par rapport aux ressources en eau potable. Ce qui peut engendrer des disputes et même des guerres.

·       les modifications climatiques planétaires rendent la question encore plus délicate. Les troubles climatiques provoquent des sécheresses sévères ou des inondations fatales.

·       plus de 300 millions d'africains n'ont pas accès à l'eau potable. Et on parlera toujours d'une Afrique sans eau tant qu'il n'y a pas une stabilité politique dans plusieurs pays puisqu'il n'y a pas une situation sanitaire normale, ni un développement économique et social.

Khouya Daoud 2Sc.2

Hamadi Ali 2Sc.2

Chaouki Lamia 2Sc.1

21 juin 2005

Tafilalet et le danger de la sécheresse

               La sécheresse est une catastrophe naturelle qui s'abat depuis quelques années sur la région de Tafilalet et entrave l'activité de ses habitants. La région est connue par ses dattes et ses olives. Mais, sans l'eau, la récolte a fortement chuté par rapport aux années 1970.

            Depuis des siècles, Sijilmassa jouait un rôle commercial important entre le sud et le nord de l'Afrique. Malheureusement, à cause de la sécheresse, beaucoup de cultivateurs et surtout leurs enfants préfèrent actuellement l'exode vers le nord.

Allaoui Abdel Hamid

2Sc.1 

21 juin 2005

Enquête: L’eau et ses ressources à Tafilalet.

L'

eau représente sans aucun doute un des biens les plus précieux que la nature ait offert à l'humanité. Le monde animal, végétal et humain ne peut vivre sans cet aliment. Elle contribue à la construction des nouvelles cellules de notre organisme. Elle constitue les trois quarts de notre corps.

On peut avancer également que c'est grâce à ce don divin que l'oasis de Tafilalet a pu exister sur terre. Parmi les ressources sur lesquelles s'appuie la région, on trouve:

  Oasis de Tafilalet

         ·    l'eau des pluies: elle représente la source initiale soit au niveau de l'exploitation agricole, soit au niveau des besoins quotidiens mais le problème est que notre région se situe dans un site désertique, loin de la mer, caractérisé par de faible précipitations. Ce qui aggrave la situation davantage, c'est la sécheresse qui s'est abattue sur la région ces dernières années. A cause de ce phénomène, beaucoup d'habitants ont choisi l'exode.

·    l'eau des rivières: Tafilalet est alimentée principalement par trois Oueds: Ziz, Ghris, et Guir. l'importance de cette ressource est limitée au niveau agricole et elle reste temporaire selon les précipitations.e de rivière

·    l'eau des puits: au passé, elle représentait la première source en eau potable. Mais aujourd'hui, elle s'exploite également dans l'irrigation.

·    l'eau des sources: à Tafilalet,

la Source

bleue Meski est d'une grande valeur au niveau agricole et même touristique. Elle contribue à l'irrigation mais ces dernières années, son débit a énormément chuté à cause de la période de la sécheresse.

           Par amour à leur oasis historique, les filalis ont pensé à plusieurs méthodes afin de bien gérer ces ressources hydriques. Parmi ces moyens, on cite la khettara et le barrage Hassan Addakhil.

La khattara:

            C'est un système ancien de mobilisation des eaux souterraines. Une galerie drainante amenant par gravité l'eau de la nappe phréatique à la surface du sol à des fins d'irrigation et d'eau potable.

            Cette technique est très ancienne. Sa première apparition était en Iran et elle est arrivée au Maroc à travers les arabes musulmans. Elle est connue sous plusieurs noms comme "Kiraz" en Afghanistan, "Quanat" en Iran, "Fouggara" en Algérie, "Khettara" au Maroc.

            Elle est plus avantageuse que les canaux ordinaires sur deux plans:

·       Elle est à faible coût lors de la construction mais elle demande un volume de travail important.

·       Elle limite l'évaporation et l'accumulation des sables aux moments des tempêtes de sable.

La khattara se compose de trois parties importantes:

·       Une partie drainante, constituée d'une galerie qui assure le drainage et le captage des eaux.

·       Une partie qui assure le transport des eaux drainées vers les terres d'irrigation.

·       Une partie qui dirige l'eau vers les canaux alimentant qu'on appelle "Mesref".

La longueur de la khettara varie de quelques centaines de mètres à une vingtaine de kilomètres. A Tafilalet, le nombre des Khattaras s'élève à 570 (environ

2900 Km

). Mais, seulement 230 khattaras sont immédiatement fonctionnelles.

Le barrage Hassan Addakhil:

Edifié en 1967, il constitue la principale œuvre hydrographique dans la province. Il est construit sur Oued Ziz qui constitue la source la plus importante. Il a été conçu pour l'irrigation continue de la vallée de Ziz qui est équipée des canaux d'irrigation modernes.

Les lâchers du barrage sont programmés en fonction du cycle végétatif des espèces cultivées et de leur besoin selon le tableau suivant:

Octobre

Pré irrigation

Novembre

Décembre

Levée céréales

Janvier

Février

Epiaison

Mars

Avril

maturation

Mai

Juillet

Palmier, olivier

La construction de ce barrage est, pour certains, une technologie lourde et inadaptée. Néanmoins, il a été construit dans l'objectif d'arrêter les crues catastrophiques et de régulariser les eaux de l'Oued Ziz et par conséquent, d'augmenter la production agricole. Ce pendant, les résultats de cette intervention ne sont pas encore satisfaisants.

(Avec nos remerciements au service de l'agriculture d'Aoufous pour leur collaboration)

Oudich Jamila

Bensaid Hassan

Ouddou Noureddine

2Sc.1


21 mai 2005

La classe de la 2Sc.1 du lycée Hassan I Aoufous 2005

2sc1

21 mai 2005

Sommaire :

·   L’EAU… L’EAU… L’EAU… p.2

·   La langue française.  p.5

·   L’amitié… L’amitié…     p.8

·   Roman-photo          p.10

·   Théâtre                     p.12

·   Humour… Humour…  p.13

·   Activités du lycée    p.14

Publicité
1 2 > >>
Le Lycéen
Publicité
Publicité